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Sa vie

  Fils de Guy DROPSY , transporteur, Dominique né le 9 décembre 1951 à LEUZE près d’HIRSON dans l’Aisne est un ancien gardien de but international de football.

Il a un fils nommé Damien DROPSY qui est, aussi, gardien de but

Sa carrière en club

Licencié et formé au club de la ville d’HIRSON ( C.S.C.V.H ), alors qu'il dispute un match de sélection de Picardie en Cadet, les recruteurs de Valenciennes repèrent ce jeune gardien. DROPSY signe en 1970 à l'USVALENCIENNES-ANZIN. Il effectue ses débuts en Division 1 le 9 août 1972 face à NÎMES (1-1) et s'impose assez rapidement en équipe de France Espoirs

Après quelques match en équipe de France junior puis espoir, DROPSY fait ses grands débuts lors d'un match amical face à la sélection du GABON. Comme souvent à ce poste, le titulaire se blesse : Dominique rentre.. il ne sortira plus. Il restera à VALENCIENNES jusqu'à la relégation, à la fin de la saison 72/73. Il suit alors son entraîneur à STRASBOURG, où il va vite devenir le chouchou de la MEINEAU malgré les résultats plus que moyens du club. La relégation est inévitable en 76, mais Dominique reste fidèle. Bien lui en prendra puisque l'année suivante, le club triomphe en D2 avant de finir 3ème de D1 la saison suivante.

C'est la résurrection.

Profitant de la vague de succès qui déferle sur une Alsace non habituée à ce genre de période faste, ainsi que de la blessure du titulaire, il est du voyage au pays de VIDELA en 78. Il n'y jouera cependant que le match des coiffeurs face à la HONGRIE, histoire de raccourcir ses bouclettes.

L'année suivante STRASBOURG confirme son ascension en conquérant son unique titre de champion. DROPSY prend alors l'ascendant sur ses rivaux en Equipe de France, Dominique BARATELLI et Jean-Paul BERTRAND-DEMANES. Il dispute l'ensemble de l'éliminatoire pour l'EURO80, soldé par une non qualification. Cependant, à mesure que STRASBOURG rentre dans le rang au début des années 80 échouant à être européen, DROPSY perd sa place à la suite d'une défaite aux PAYS-BAS en mars 1981. Sur une frappe de 30m d'Arnold MÜRHEN, la balle heurte le montant droit avant de ricocher sur sa nuque pour pénétrer la cage. La presse se déchaîne et lui octroie la responsabilité du but.. C'en est fini pour lui.

Malgré l'absence de gardiens de grande classe, il ne peut prétendre à une place en Equipe de France à cause de son parcours en club.

C'est pourquoi en 1984 il rejoint les Girondins, fraîchement sacré en juin. Dominique DROPSY fait, alors, partie de la grande équipe des Girondins de Bordeaux, celle qui sans la JUVE de PLATINI, aurait pu apporter à la France sa première Coupe d'Europe des Clubs Champions. Le gardien bordelais souhaite que l'on parle de lui comme quelqu'un de sérieux et de professionnel, ce qui va de soi lorsque l'on a son palmarès.

Le 21 avril 1989, il met un terme à sa carrière après son 596ème match de D1, record de longévité qui ne sera battu qu'en 1994 par Jean-Luc ETTORI, avec 602 matchs.

 A 38 ans, alors que Joseph-Antoine BELL vient de signer en faveur des Girondins de Bordeaux, Pour permettre à son club de chercher tranquillement un remplaçant à Joseph Antoine BELL, DROPSY accepte de terminer sa carrière en qualité de doublure, et fait partager son expérience aux jeunes joueurs de la réserve. A cette occasion, ROHR, alors à la tête de la réserve, le nomme capitaine de l'équipe. Son équipe terminera meilleure défense du championnat de troisième division. « J'ai derrière moi vingt ans de plus haut niveau, et j'aime faire profiter les jeunes talents de tout ce que j'ai vécu » confiait-il.

A la fin de la saison, une carrière s'éteignit et une autre s'éveilla.

Que devient-il ?

Comme beaucoup, Dominique s'est orienté vers une carrière de terrain. Il commence en encadrant les stages à Cap Girondins aux côtés de Marius TRESOR et Gernot ROHR, où il s'occupe plus particulièrement des gardiens. Il fit ensuite ses classes en entraînant les gardiens de la réserve girondine.

En 1990, Raymond GOETHALS fait appel à lui pour encadrer les gardiens de l'Equipe fanion mais Dominique continue de s'occuper, également, des jeunes. De Joseph-Antoine BELL à Ulrich RAME, en passant par Stanley MENZO et Gilbert BODART, les gardiens de grandes classes vont se succéder chez les marines et blanc.

En 1998, faute de temps, DROPSY devra lâcher la formation pour se concentrer sur son oeuvre : porter au pinacle Ulrich RAME. En effet, l'entraîneur angevin de l'époque lui avait conseillé de rejoindre BORDEAUX car la présence de DROPSY était pour lui un gage de séreux et de réussite pour son protégé. bordeaux n'a eu qu'à s'en féliciter puisque RAME finira en Equipe de France.

DROPSY est devenu une véritable icône en Gironde, un véritable gardien du temple, à tel point que les supporters bordelais l'ont élu meilleur portier girondin de tous les temps.. rien que ça...

Son palmarès :

Champion - Division 2 en 1977 (RCSTRASBOURG)

Division 1 Champion de France en 1979 (RCSTRASBOURG),1985 et 1987 (BORDEAUX)

Vainqueur de la Coupe de France 1986 et 1987 (BORDEAUX)

Demi-finaliste de la Coupe des Champions en 1985 (BORDEAUX)

Demi-finaliste de la Coupe des Coupes en 1987 (BORDEAUX)

Vice- champion de France en 1988

17 sélections en EQUIPE de France de 1978 à 1980,

dont 1 match de phase finale de la coupe du monde en 1978.

16.11 | 15:11

Bonjour à tous, je suis à la recherche de photos de mon grand père, Michel Desson. De ce que je sais, il es née en 1951 et aurais été au collège en mécanique..merci à ceux qui m’aideront..

25.10 | 10:01

J'étais en 2eAB puis en 1ère A4 en 1968,1969 et 1970.

02.06 | 07:03

Ce n'est pas une photo de 1966. Elle date de 1973 .classe de 2nd T. MICHEL LAMPSON professeur de math au centre.

06.05 | 23:05

J'ai connu M. Lajarrige quand il était principal-adjoint au collège Georges Cobast d'Hirson. Je débutais en tant que professeur d'anglais à l'annexe de la rue Camille Desmoulins.